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Anton.
Un an.
Un an que la maison est vide de toi.
Un an que je ne me console pas.
Je ne suis qu'un océan de larmes.
Rien ne t'efface en moi.
Tu restes dans mes yeux.
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Commentaires
2Jean MarcJeudi 21 Novembre 2019 à 04:17Triste date. Une présence qui ne pourra jamais s'effacerJe peux comprendre, ayant déjà perdu deux compagnons à 4 pattes.
Concentre-toi sur tes enfants actuels....
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Douces pensées pour ton amour d'andalou.