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    Châteauneuf-du-Faou

    Le 11 Juin 2015.

     

     

    Colerige,

     

     

    Je n'ai pas fait de prison au sens stricte du terme, mais j'ai néanmoins l'impression d'y avoir passé ma vie.

     

    Je ne sais pas qui l'a prononcée, mais j'ai retenu cette phrase : " Ne me secoue pas, je ne suis qu'un océan de larmes". Si je ne peux oublier cette phrase c'est qu'elle est moi. Je suis noyée dans une mer d'incompréhension. Mettre en mots ce passé jamais dépassé me replonge dans ce néant, cet abîme.

     

    Je l'ai tué, mon frère. Je l'ai admis, mais je ne m'en souviens pas.

     

    Je me souviens d'un voyage de terreur. Une grosse dame (à l'époque l'obésité n'était pas aussi courante qu'aujourd'hui), une vraiment très grosse bonne-femme avec une tête minuscule, et de rares cheveux tirés en arrière par un chignon famélique, une grosse bonne-femme que je n'avais jamais vu m'a fait monter dans sa vieille 4CV et sans jamais un mot, elle a roulé, roulé, roulé en m'éloignant de ma famille.

     

    J'étais terrorisée sur le siège arrière. Qui était-elle ? Où allions nous ? Pourquoi ma maman avait-elle mis mes vêtements dans une valise, valise qui reposait sur le siège arrière, à mon côté ? Pourquoi mon papa n'avait pas été là pour s'y opposer ?

     

    Pas une poupée, pas une peluche pour m'aider à supporter ma terreur. J'avais cinq ans.

     

    J'étais une petite fille comme toutes les petites filles, je vivais une vie que la femme adulte ne se souvient pas. Il faut les photos de l'album de famille pour se souvenir de soi en landau, de soi en couches-culottes. Aucune photo n'a été mise dans ma valise, aussi ma vie ne commence pas le 22 avril 65 mais le jour de la vieille 4CV et de sa grosse dame à petite boule pour tête, le jour où ma mère m'a fait monter dans la voiture et où la 4CV m'a éloignée de ma famille. Je ne sais pas la date exacte, mais c'était très peu de temps avant la rentrée scolaire de septembre car dès le lendemain je me suis retrouvée dans une école vide. Solitude glaçante, terrifiante.

     

    Ma vie commence fin août 70.

     

     

    Je n'ai jamais voulu de chien.

    Oui je change de sujet. C'est l'art de la paresse : Œuvrer à une chose pour ne pas faire ce que l'on doit.

    Donc je n'ai jamais voulu de chien. Je partage ma vie avec une famille de poissons rouges (la G2 = la Génération 2) et cela me suffit. Si j'ai Ayatt et Kaume c'est qu'elles ont vécu la même chose que moi. Où l'inverse mais le résultat se nomme abandon.

     

    Mes parents m'ont abandonnée en restant chez eux et en me faisant aller chez Henriette. Elles, elles ont été déposées à l'agence où je travaille, en mon absence avec un mensonge : je les avais réservées. NON, jamais je n'avais voulu d'elles. Quand j'ai vu les deux chiots dans l'agence, j'ai revu ma détresse, la répétition de ma vie, alors je les ai prises comme j'aurais voulu que l'on me sauve. Pour elles cela ne fut pas très traumatisant. Elles étaient deux, elles s'amusaient de tout, elles ne semblent pas avoir intellectualisé ce qui leur arrivait. Moi j'en ai été terriblement traumatisée. J'ai été arrachée à ma vie et j'ai du vivre avec l'étiquette de tueuse tatouée dans le dos.

     

    A cinq ans je suis née dans la vieille 4CV grise. Ma vie débute là.

     

    Nous avons roulé des heures. A cinq ans je n'étais pas un génie d'intelligence comme on en voit dans les livres. J'ai horreur des gosses dans les livres comme dans les films, on leur fait dire et penser des choses qui ne traversent jamais le cerveau des petits. Une petite fille de cinq ans ce n'est vraiment pas autre chose qu'une petit bouchon innocent. Je te jure que je les ai étudié les gamines de cinq ans, pour savoir comment j'étais à l'age là. A cinq ans, on est vraiment très peu de chose, on est juste une petite vie qui a besoin d'amour et de protection. A cinq ans on n'est que ça.

     

    Alors dans la 4CV poussive, j'étais juste une toute petite fille paniquée par ce qui lui arrivait. Mes parents ne m'avaient rien dit pour m'y préparer. La voiture arrive, le gros corps surmontée d'une mini boule pour tête, avec une encore plus petite boule à l'arrière (le chignon) en sort, et ma mère me tire par la main, elle ouvre la portière, et je dois monter. Ensuite elle me pousse pour entrer la valise. Et voilà la vie bascule, déjà la trois boules monte dans la voiture en la faisait tremblée plus que moi, et c'est parti.

     

    Je ne sais pas où j'habitais avant, je sais juste que nous avons roulé à n'en plus finir, que nous nous sommes arrêtées pour des pauses pipi, pour une banane, un verre d'eau, du pain et du beurre, mais toujours nous restions au côté de la voiture qui reprenait de plus bel.

     

    La grosse dame silencieuse me terrifiait, son silence me terrorisait pourtant j'ai osé quelques questions et ce fut le début d'un refrain qui sera sans fin.

     

    Mais qu'est-ce que  tu crois ?

    Tu n'as plus droit à rien.

    Tu as tué ton frère.

    Tais toi.

     

    C'est dans la 4CV par la voix de Henriette que j'ai appris la mort de mon frère, mort de mon fait.

     

    Mon frère. Qui était mon frère ? Comment l'ai-je tué ? Pourquoi l'ai-je tué ?

    Je n'ai aucune mémoire de lui.

    Tu n'as pas idée du nombre d'heures que j'ai passé immobile à réfléchir à sa vie, sa mort. Je n'ai jamais réussi à retrouver un fragment de mémoire. Comment peut-on tuer quelqu'un sans s'en souvenir au moins un peu ?

     

    Parfois j'ai admis : je l'ai tué. La preuve j'étais chez Henriette.

    Parfois je me suis révoltée. Non je ne l'ai pas tué. Je ne me souviens de rien donc je n'ai rien fait. Mais alors pourquoi restais-je chez Henriette ? Parce que je l'ai tué.

    J'ai grandi avec ce raisonnement en boucle  dans la tête.

     

     

    Passé X kilomètres, je me suis retrouvée à Panazol en banlieue de Limoges.

    Je ne sais pas sur combien de km nous avons roulé. Je ne sais pas où j'habitais avant. Je sais juste que je viens d'une région où les maisons ont des toits en ardoises, et que la maison de mes parents était avec d'autres, mais ce n'était peut-être pas un lotissement.

     

    A 5 ans une grosse femme avec une tête minuscule est arrivée dans une vieille 4CV poussive grise, ma mère lui a fait la bise, a déposé ma valise dans la voiture et toute ma vie a chaviré. Je suis devenue celle qui a tué son frère.

     

    Cette femme était la cantinière de la petite école où j'ai été placé. C'est pour ça que j'ai commencé l'école une semaine avant tout le monde. Henriette nettoyait la cantine avant l'ouverture des classes.

     

    Tous les adultes, de la directrice en passant par les instits et les deux femmes qui faisaient le ménage, savaient que j'étais une tueuse. Tous les enfants savaient que je n'étais pas la fille de la cantinière.

     

    Henriette était ma tutrice. Je devais la nommer tutrice. Cela veut dire quoi tutrice pour une fille de 5 ans ? Cela ne veut rien dire. Nounou, mémé, maman, voilà des mots pour un vocabulaire d'enfant. Tutrice ! Les gamins de Panazol n'avaient jamais entendu ce mot.

     

    Par la suite j'en ai lu des livres et des livres et encore des livres. Tutrice, je n'ai pas vu souvent apparaitre ce mot.

     

    Et si elle est ma tutrice, que suis-je pour elle ? Un fardeau. Si je posais la question, je n'obtenais pas pupille mais fardeau. Duo de termes qui sent l'amour !

     

    Je ne peux pas dire que j'ai été malheureuse. J'étais juste terrorisée par le silence. C'était une femme toujours en mouvement qui ne parlait pas. Si je lui demandais quand maman allait venir me chercher, j'avais le droit au refrain.

     

    Mais qu'est-ce que tu crois ?

    Tu n'as plus droit à rien.

    Tu as tué ton frère.

    Tais toi.

     

    J'ai mis des années à admettre que mes parents ne viendraient pas, qu'ils n'écriraient pas, qu'ils ne m'offriraient jamais un cadeau pour noël ou mon anniversaire. J'ai mis des années à comprendre qu'ils m'avaient abandonnée, qu'ils vivaient sans jamais vouloir de moi.

    Condamnée à perpétuité. Parce que j'ai tué mon frère.

     

    Il devait l'aimer lui.

    Si il m'avait tué, l'auraient-ils donné à Henriette aussi ? Ou lui auraient-ils pardonné ? Je me suis souvent posée la question, et chaque fois ce fut la même réponse qui me venait : " On t'aime encore plus Fils car il ne nous reste que toi".

     

    Mes parents ne m'aimaient pas.

    Il n'y a pire chose que la lucidité.

     

     

    J'ai tué mon frère.

    Si seulement j'avais pu m'en souvenir. Peut-être alors je me serais sentie forte, fière de moi. Après tout le méritait-il peut-être ? J'avais peut-être réalisé un exploit. Vivre sans se souvenir c'est atroce. Toute ma vie je dois assumer du vide qui pèse très lourd. Comment me défendre ? Que répondre à "Pourquoi l'as-tu tué ?" à "Comment as-tu pu faire une chose aussi monstrueuse ?"

    Je les ai entendus ces questions là. Ah et il y a aussi " Comment as-tu pu faire souffrir tes parents autant ?"

     

    Personne ne s'est jamais soucié de ma souffrance à moi. Papa et maman étaient ensemble, moi j'étais seule, et si petite. Pourquoi personne ne songeait à ma souffrance à moi ? Parce que j'étais une tueuse, et une tueuse ne mérite plus rien. Comme dit Henriette

    Mais qu'est-ce que tu crois ?

    Tu n'as plus droit à rien.

    Tu as tué ton frère.

    Tais toi.

     

    A une époque de mon adolescence je ne lisais que des livres sur les erreurs judiciaires. Coupable d'une faute qu'il n'a pas commis. J'avais tellement l'impression que c'était toute ma vie.

     

    Malheureusement moi j'ai bien tué mon frère. Mon absence de mémoire ne le ressuscite pas. Il est mort par ma faute.

     

    Si je me permettais d'affirmer que je ne l'avais pas tué, Henriette m'accusait de mensonge, et me rappelait que si j'avais été une gentille petite fille sage je vivrais avec mes parents, hors où étais-je ? Avec elle , donc je devais cesser de mentir.

    J'aurai voulu qu'elle me raconte ce que ma mémoire refusait de me rendre, mais jamais elle n'a lâché un mot d'explication.

     

    Dans les moments où j'étais la plus audacieuse, à l'adolescence, je lui ai jeté à la figure que si elle ne pouvait pas me raconter comment j'avais tué mon frère, c'est que maman ne le lui avait pas raconté et si maman ne le lui avait pas raconté, c'était qu'il n'y avait justement rien à raconter  puisque je ne l'avais pas tué. Henriette ne laissait hurler ma souffrance. Elle gardait le silence.

     

    Est-ce qu'une fois elle a seulement pensé que l'hypothèse était plausible? Elle n'était jamais venue nous voir avant de me prendre. Elle n'a pas assisté à l'enterrement de mon frère. Alors pourquoi ne lui aurait-on pas menti ? Si j'avais été à sa place, j'aurai accordé de la valeur à cette petite fille pleine de questions. Mais Henriette n'a pas ma logique. Elle me laissait à mes crises de larmes, de désespoirs et elle s'emmurait dans son éternel silence.

     

    A l'adolescence j'ai voulu contacter mes parents sans passer par Henriette. Petite je faisais des lettres "sos venez me chercher" qu'elle ne postait pas. Alors plus mature, j'ai voulu passer par dessus elle. J'ai trouvé son cahier, celui qui contenait les numéros de téléphones, les adresses. Il n'y avait aucun Bachaud.

     

    Je me nomme Mickaelle Bachaud. Kervelou est le nom de Lionel mon ex mari.

     

    Il m'a fallu des années pour savoir que Henriette Muzendis était la soeur de la mère de ma mère.

     

    J'ai passé 13 années avec elle. Pas une fois un Bachaud ou un Muzendis n'a franchi le portail de la cour, n'a envoyé une carte pour son anniversaire, noël, le nouvel an.

    Dans le calepin il y avait 2 Muzendis mais aucun Bachaud. Henriette n'a donc jamais envoyé des nouvelles de moi à mes parents. J'étais rayée de leur vie.

     

    Lucidité ....

     

    En grandissant je me suis isolée (comique ce que je dis là) j'étais toujours seule, je ne pouvais donc pas m'isoler, et pourtant c'est ce que je faisais, j'allais en un lieu secret et je demandais aux arbres, au ciel, aux fées, aux anges, de me dire comment j'avais tué mon frère. Ensuite je ne bougeais plus, je ne parlais plus, j'attendais un signe, un mot, un geste. Rien. Les fées, les trolls sont comme les hommes, ils gardent le secret.

     

    Je n'ai jamais su comment mon frère est mort, comment je l'avait tué.

     

    Je suis heureuse que tu saches le prénom de ta soeur, moi j'ignore celui de mon frère. Même ça je l'ai oublié. Je sais qu'il était plus jeune que moi. Je le sais car un jour de révolte à l'adolescence j'ai hurlé que je n'avais pas pu le tuer car il était plus grand et fort que moi. Là elle m'a dit qu'il n'était qu'un bébé. Un bébé !

     

    J'étais tellement contente. Depuis quelques mois je me souvenais de lui. Il était plus grand que moi de quelques années et il était très gentil. Il se prénomme Lucas. Lucas. Je ne comprenais pas comment j'avais pu avoir eu envie de le tuer il était si gentil.

     

    Ce n'est pas lui que j'ai tué, il n'était pas mon frère. Je ne sais pas qui est le garçon de mon souvenir. Lucas. Il n'est pas mon frère, mon frère était plus jeune que moi. Le souvenir de Lucas est l'unique chose que j'ai récupéré. Je nous vois à vélo. Il y avait deux haies avec un passage très étroit entre elles. Je le suivais à vélo. Je suis tombée et mon vélo s'est couché sous les deux grosses haies. Je n'arrivais pas à le relever, les branches me dérangeaient. C'est Lucas qui a redressé mon vélo rouge.

     

    Je ne sais pas le prénom de mon frère.

     

    C'est atroce d'être coupable d'avoir tuer un bébé donc tu n'as aucun souvenir.

     

    Lucas et ma bicyclette n'est pas mon unique souvenir, j'en ai retrouvé un autre. Un qui me prouve ma culpabilité.

     

    J'ai revu très nettement toutes mes poupées brulées. Mon père m'avait construite sur la pelouse une petite maison en bois pour mes poupées, aujourd'hui on nommerait ça une cabane de jardin pour enfants. Mais à l'époque, cela n'existait pas. Alors papa avait construit une maison de poupées, une maison si grande que je pouvais entrer dedans. Il a tellement été malheureux que je tus son fils qu'il a mis le feu à ma maison. Je revois très bien toutes mes poupées, mes peluches, mes dinettes, dans un anneau noir de cendres et eux tous fondus, déformés au centre.

     

    J'ai tué mon frère. Mon père et ma mère n'ont plus voulu de moi, aussi je suis allée vivre chez une cantinière d'une banlieue de Limoges.

     

    Jamais ils n'ont cherché à prendre contact avec moi. Et en cadeau pour mes 18 ans ils ont cessé de verser une pension à la cantinière aussi à cette date j'ai du partir de la maison qui était devenue la mienne. Quand j'ai vu Ayatt & Kaume abandonnées j'ai voulu d'elles, mais Henriette n'a jamais voulu de moi. Elle a accepté un travail contre un salaire. Quand j'ai eu mes 18 ans son contrat de travail a été arrêté. CDD de 13 ans.

     

    Sur les treize années j'avais fini par m'attacher à elle. Certes elle n'était pas débordante de chaleur humaine, mais elle n'était pas méchante non plus. J'avais cru que elle aussi elle avait appris à m'aimer sur le tard. Le jour de mes 18 ans je me suis prise une grande claque dans la tête, quand elle m'a révélée l'argent versé, le contrat passé et donc mon renvois sur le champ.

     

    Ce jour là je n'ai pas été déposée dans une agence avec un mensonge autour du cou, ce jour là il n'y avait personne pour m'adopter. En fait c'est peut-être bien plus ce jour là qui m'a fait adopter Kaume et Ayatt sans hésiter.

     

    Ta soeur est morte, mon frère est mort.

    Tu as fait tout ton possible pour l'aider, moi je lui ai détruis la vie, et cela à détruit la mienne. Il y a 45 ans de cela maintenant. Depuis 45 ans je n'ai qu'un vœu : Apprendre comment je l'ai tué.

    Il me faudra surement mourir avant de l'apprendre.

     

    Bonsoir Colerige Tchigrenkov.

     

    Mickaelle la tueuse.

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  • Commentaires

    1
    Lundi 4 Juillet 2016 à 19:33

    Un nouveau chapitre très prenant. La version et surtout la vision de Mickaelle, pour une histoire dont on connait l'autre versant.

    Sentiment d'injustice, bien entendu, pas mal de compassion en lisant ses lignes.

    Et Tchig ? que réserve t'il, son côté humain ou l'être plus froid ?

    Au prochain épisode ... je saurai, sans a priori aucun

    2
    Lundi 4 Juillet 2016 à 21:07

    Va savoir, il a peut-être un 3ème côté wink2.

     

    Petite question : A ce niveau du livre, tu penses qu'avant la fin Mickaelle saura que son frère est en vie , ou pour toi, elle va rester tout le temps sans le savoir vivant ?

    Ou posé autrement :

    Aimerais tu retrouver un personnage de "il brûle" dans "Tchig" ? Et si oui lequel ?

    3
    Mardi 5 Juillet 2016 à 07:43

    Ah ah, bonne question que je me suis en effet posée. Bien entendu on peut s'imaginer qu'elle pourrait rencontrer sa mère ou son frère mais j'en doute fortement.

    Je verrais bien la rencontre "accidentelle" avec un personnage extérieur à la famille mais peut être sans que rien ne lui soit vraiment dévoilé. Juste des "bribes de vie" .....

    4
    Mardi 5 Juillet 2016 à 21:30

    En fait je te pose la question car à l'origine il n'est pas du tout prévu que "le passé soit dans l'avenir" MAIS en concoctant la lettre de CAT j'ai réalisé qu'il existait une brèche et que oui, sans changer le programme du roman, on peut l'enrichir.

    Je vais mettre un neurone sur ton mot "accidentelle".

    Et puis comme tous les livres sont (seront) liés va savoir c'est peut-être dans 2 ou 4 romans qu'il y aura un élément sur ça.

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    5
    Mercredi 6 Juillet 2016 à 07:20

    En fait c'est ce que j'aime : découvrir. Je me fais mes idées, mais j'aime être contredit.

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