• Pour une sagesse de la responsabilité universelle

     

     

    Je m'engage avec joie à cultiver en conscience, dans tous

    les aspects de ma vie, une sagesse fondée sur la responsabilité

    universelle pour le bien de tous les vivants.

     

    C'est l'exaucement de mon humanité intérieure qui

    révolutionne les consciences. Car l'enjeu planétaire est

    aujourd'hui de réviser en profondeur les paradigmes

    existentiels de l'ancien monde, afin de réconcilier

    progrès  scientifique et technique avec progrès

    éthique et humain, au sein de la nouvelle réalité.


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  • Pour une culture de Satyagraha

     

    Je m'engage à étudier l'histoire et les principes du

    mouvement satyagraha pour imaginer et mettre en

    pratique  des modes d'action transformateurs de

    résistance à toute pression culturelle, sociale et

    politique, me faisant  dévier de mon humanité intérieure.

     

    Selon satyagraha, la puissance de l'agir n'est pas d'origine

    physique. Elle  provient de l'esprit. Forgée dans la

    conscience qui contemple la vérité, elle est indomptable,

    car sans compromis.


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  • J'aime cet homme.

     

    Sa peine  est la  mienne.

     

    En cliquant sur sa photo vous entendrez ses mots.

    Merci de l'écouter réellement, complètement.

     

    Jamais encore je n'avais eu les larmes aux yeux

    en écoutant un homme parlant politique,

    maintenant c'est  fait.

     

    On avait  un Homme parfait,

    personne ne l'a compris.

     

    Les français sont descendus par milliers dans la rue

    pour 11 gus en short et un ballon.

    Pour les insectes, les oiseaux, les poissons,

    il n'y a personne.

     

     


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  • Pour  une éducation holistique

     

    Je m'engage à promouvoir  une éducation holistique

    qui enseigne à vivre, en développant non seulement

    les facultés intellectuelles, mais aussi l'intuition et les

    qualités de coeur.

     

    Dans l'esprit de la responsabilité  universelle, l'éducation

    d'un jeune requiert de lui apprendre le discernement

    critique  qui identifie l'erreur, l'illusion et la partialité ;

    de l'éveiller à son humanité intérieure, en le formant

    aux sciences internes de l'esprit et des émotions par la

    méditation, afin qu'il développe une maturité cognitive,

    émotionnelle et décisionnelle, tout en s'entraînant à

    l'altruisme  et à la solidarité, nécessaires pour affronter

    les aléas d'un destin humain.


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  • Pour la promotion des  femmes

     

    La femme est la mère de l'homme. Il lui revient de

    protéger la vie et d'enseigner l'esprit de paix à un monde

    en guerre, qui a soif de ce nectar.

     

    Je m'engage  à donner aux femmes le pouvoir de contribuer

    à l'évolution de la société par l'éducation et l'accès à

    des postes de responsabilité, car je reconnais leur capacité

    naturelle à réhumaniser le monde,  en revitalisant

    dans un sens plus altruiste les responsabilités

    individuelles et collectives.

     

     

    Au texte du Dalaï-Lama

    j'ajoute les propos de Françoise Héritier anthropologue & ethnologue.

     

    Quand les humains se regardaient eux-mêmes et qu'ils observaient

    les animaux  autour d'eux, ils voyaient qu'il y avait toujours deux

    sexes mais que seules les  femelles mettaient au monde les enfants.

    Ils  se  sont donc demandé à quoi   servaient les  mâles dans la reproduction si les femelles avaient la capacité de le faire toutes seules.

    Les humains, au cours de la préhistoire ont élaboré une  réponse

    à la  question : pourquoi les hommes ne peuvent faire leur propre

    fils ? La nature ou un Dieu puissant leur avaient donné le corps des femmes pour cela. Ils y mettaient les bébés. Ainsi  ils étaient

    les possesseurs, les maîtres des corps  des femmes, soit parce

    qu'ils en étaient les pères ou les frères, soit  ensuite parce

    qu'ils  en étaient les époux.

    Naturellement c'est faux mais au temps de la préhistoire ils

    n'avaient pas la connaissance qu'il fallait à la  fois des

    ovules et des spermatozoïdes, donc l'apport des 2 sexes

    pour faire des bébés. 

    Pour eux l'homme apportait  l'élan créateur et la femme 

    la nourriture pour que l'enfant grandisse en elle.

    On continue encore d'ailleurs de dire que

    le papa apporte la petite graine à la maman.

     

    La première conséquence, c'est que les femmes ont

    été considérées comme un objet de première nécessité.

    Du coup les hommes ont échangé les femmes entre eux.

    "Je te donne ma soeur et tu me  donnes la tienne".

     

    La deuxième conséquence, c'est que les femmes,

    elles ont été contraintes à pratiquement  ne  faire que cela.

    Et bien sûr sans leur demander leur avis.

     

    La troisième conséquence,  c'est que pour les maintenir

    dans cette situation on a utilisé des modes d'action

    qui  ont d'ailleurs  toujours cours aujourd'hui.

    Elles ne pouvaient pas disposer librement d'elles-mêmes,

    elles ne pouvaient pas choisir leur mari, elles ne pouvaient

    pas  choisir le nombre d'enfants qu'elles auraient.

    Elles n'ont pas eu accès au savoir car le savoir ouvre à

    l'esprit critique et à l'émancipation.

    Et enfin tout ce qui se rattache  aux activités qui leur a été dévolu,

    de l'ordre des tâches domestiques

    a été dévalorisé, méprisé, considéré avec condescendance.

     

    C'est tout cela qui entre en ligne de compte avec  la notion de hiérarchie. Une règle a été établi par les humains qui fait que

    les hommes ont été considéré comme supérieurs aux femmes et 

    ont traité les femmes comme de simple corps, comme des ustensiles

    pour pouvoir eux-mêmes s'offrir des fils.

     

     

     


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  • Pour la justice économique

     

     

    Je m'engage à contribuer à une économie mondiale

    respectant le droit à la vie pour tous, humains et

    non-humains.

     

    Dans cet esprit de justice, je rejette les privilèges et les

    monopoles, refusant ce qui ne peut être partagé. J'évite

    également d'accumuler le superflu qui me conduit à

    gaspiller des biens, alors que des millions de personnes

    ne bénéficient pas du strict minimum. Si chacun ne

    possédait que le nécessaire, nul ne subirait le manque.


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  • Pour la démocratie

     

     

    Je m'engage pour la démocratie représentative, avec la

    conviction qu'un tel système de gouvernement, lorsqu'il

    n'est pas corrompu, est le mieux adapté à la nature

    première de l'humanité.

     

    C'est le seul fondement stable sur lequel ériger une

    structure politique globale. Car le vrai démocrate défend par

    des moyens non violents sa liberté, celle de son pays et,

    au final, celle de l'humanité entière. Il mène de front

    réforme personnelle et réforme sociétale, en phase avec

    la nouvelle réalité et les attentes citoyennes.


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