• 154 - Titouan.

    J'en ai marre, putain ce que j'en ai marre. Quand ce n'est pas l'un c'est l'autre. Mais quand est-ce que je pourrai avoir une vie pénard ? Je ne demande pourtant pas grand chose, je veux que l'on me foute la paix. Oui je rêve juste d'une petite vie pépère, une vie de vieux con peut-être, mais une vie de paix. Un canap, deux trois rats, mon fils et un job pas trop con pour payer le loyer. Ce n'est pas beaucoup demander, il me semble.

     

    Mais qu'ont-ils tous contre moi, putain ?

     

    Et je voudrai que mon mal de tête cesse aussi. Il commence à se transformer en vertige, ce n'est plus supportable. Dès installé dans ma nouvelle vie, j'irai voir un docteur. Je dis ça mais au fond de moi, je sais qu'il ne sera pas du voyage. Là-bas, loin de tous, j'irai mieux. C'est aussi pour qu'une tumeur ne s'installe pas dans mon cerveau que je dois partir. Mon mal de tête vient d'eux, pas de moi, d'eux. Il y en a qui ont mal au crâne d'avoir trop picoler, moi c'est l’absorption de reproches, de haine, de colère qui me fait mal. Je ne supporte plus la méchanceté. Je suis en overdose depuis des années.

     

    Dès le début de ma vie on me reproche qui je suis. Trop mou pour le père, trop sensible pour le grand-père, trop tête à claques pour la mère, trop insolent pour la grande-mère. Personne n'a jamais voulu savoir qui j'étais, tout le monde savait mieux que moi ce qui était bon pour moi. En vérité, pas un n'a songé une heure de sa vie que je pouvais avoir mes propres pensées, mes propres désirs, volontés. Élie - Andrée - Yves - Solène même combat : tu es à nous , tu nous dois d'être la prolongation de nous.

    Boucher de génération en génération.

    Mais cela ne m'intéresse pas. Je n'ai pas un esprit de viandard. Quand je vois un canard battre des ailes, je ne me réjouis pas qu'il va nous faire de bons magrets, je vois un canard qui s'étire, qui se fait du bien. Je ne ramène pas toujours tout à moi, à mon tiroir caisse, ma réputation.

     

    Merde pourquoi ils ne peuvent pas piger ça.

     

    Merde pourquoi ils acceptent que Charlotte fasse ce qu'elle veut de sa vie, et pourquoi moi, dès sorti de l'utérus je devais me transformer en bon petit soldat boucher ? Putain je ne suis même pas de leur sang. Il a fait preuve d'intelligence Titouan, en mourant après avoir vu dans quelle famille de tarés il était tombé.

     

    Maxime les connaissait, elle savait dans quel enfer Solène allait m'embarquer. Comment a-t-elle pu me laisser partir avec elle ?

     

    D'accord, seul avec Maxime, la vie aurait pu être dur, mais je n'avais pas besoin de beurre dans les patates de ma purée. Mais merde je n'avais pas besoin d'une chambre de vingt cinq mètre carré, un tiroir posé au sol suffisait. Son lit et ses bras auraient été encore mieux.

     

    Comment a-t-elle pu me planter aussi facilement ? Elle était ma mère ! Elle savait que je n'avais aucune chance de bonheur chez des bouchers.

    J'étais son ange écrit-elle.

    Pourquoi est-elle devenu mon bourreau ?

    Elle m'a laissé partir chez des sans affect, des tueurs, des réducteurs de corps en morceaux entrant dans des casseroles. Ils ne savent que vider la vie de son sang. Rendre mort. Même entre eux, ils sont des monstres de froideur. Pas une fois je n'ai assisté à un geste de tendresse entre maman et papa, mémé et pépé. Bosser : Découper et hacher pour les hommes. Bosser :  Emballer et encaisser pour les femmes. Et laver le sang, lessiver pour rendre blanc, pour faire disparaitre tous traces de sang versés. Mais le sang, il y en aura toujours dans un mort. Parce qu'avant eux, il y avait des êtres en vie dans les corps, des êtres qui comme moi ne demandaient pas grand chose, juste pouvoir vivre en paix. Mais eux la paix ils n'en veulent pas, même pas pour eux. Je n'ai jamais vu mes parents prendre un dimanche pour aller pique-niquer au bord d'un ruisseau, sur le sable d'une plage. Je n'ai jamais vu mon père avec une bière devant un match de foot à la télé. Bosser, amasser du blé. Pourquoi ? Ils sont tous aussi morts que les cochons ouvert en deux et suspendus au crochet. Ils ne s'en rendent même pas compte.

     

    En devenant végétarien j'ai cru qu'ils allaient me foutre la paix, me laisser vivre ma vie. Non je suis devenu la cause de tous leurs soucis. Une baisse de chiffre d'affaire dans le mois, c'était de ma faute. Une livraison en retard : de ma faute. Une panne de frigo : de ma faute. L'être nuisible : MOI. C'est fou le pouvoir destructeur que j'avais à leurs yeux.

     

    Quand j'ai appris pour l'accident, pour Benjamin, Clément, François Xavier, Jean Charles, c'est horrible à dire mais j'ai pensé, qu'à moi, cela n'aurait pas pu arriver et cela m'a filé le bourdon. C'est monstrueux à dire, mais bon, avoir été élever par des monstres déteint toujours un peu. Comment aurai-je pu être d'un accident entre potes ? Je n'avais pas de pote. Un fils du boucher qui ne mange pas de viande, pensez donc !!! J'étais la risée de l'école, la honte de la famille.

     

    Je marchais seul. Je survivais seul.

     

    C'est sûrement pour ça que je me suis tant attaché à Charlotte. Elle est tellement tout ce que je ne suis pas. Elle est un rayon de soleil, je suis la face cachée de la lune. Elle est la joie de vivre, je ne parviens pas à voir la beauté de la vie.

     

    Je ne sais pas vraiment pourquoi je suis allé voir Jean Charles à l’hôpital. Je sais par contre très bien pourquoi j'y suis retourné encore et encore. Parce que j'étais bien avec lui. Nous étions pareil. Et il y avait sa mère.

     

    Jean Charles n'avait pas d'avenir. Il a su dès le début qu'il n'avait aucune chance de mourir, mais par contre, qu'il ne marcherait plus, donc il avait conclu qu'il n'avait plus aucun avenir. La phrase aurait pu me choquer mais elle m'était tellement familière "Mon pauvre enfant, mais tu n'auras aucun avenir si tu t’obstines à ..." à être autre chose qu'un bon petit gosse docile qui dit oui à ses parents et grands-parents. Vivre sans avenir, je connaissais par cœur. C'était mon programme de destinée à en croire tous les membres de ma dite famille.

     

    On a passé des heures à nous demander comment sera notre vie sans avenir. Jean Charles finissait toujours par conclure "on est coincé comme  des rats". Alors un jour je suis allé à l'hosto avec le number one : un vrai rat. Il a éclaté de rire. Et c'est là que notre amitié est née. Et notre famille de rats aussi. Toutes mes pensées vont vers toi Mayonnaise. Tu te souviens de la tête de Marie Nelly quand elle a cru que le pied de Jean Charles bougeait et qu'elle t'a découvert mangeant un mini babybel sous les draps. Elle a été super de discrétion après avoir vider ses poumons en hurlant. Elle est géniale cette femme.

     

    On avait un second point commun, Jean Charles et moi : nos pères. Le mien ne m'a jamais supporté. Au début le grand-père m'a pris sous son aile pour faire de moi un vrai Brahic. L'absence de chaleur paternel ne se ressentait pas. Pépé était là. Après ma révolte, ma décision de ne jamais tuer personne, il m'a abandonné, pour ne pas dire renier. J'aurai fait n'importe quoi, alors, pour que mon père me regard, mais il a continué à n'être pas un  père. Pour lui j'étais du décor, de celui qu'il n'aime pas mais qu'il sait là, pour l'éviter, pour ne pas s'y cogner. Pour mon père je suis un fauteuil, un angle de table, une rampe d'escalier. Un truc dont il ne faut pas oublier l'existence par instinct de protection. Il s'est toujours souvenu de moi mon père, pour mieux savoir m'éviter.

     

    Quand j'ai pris des années, il s'est mis à m'adresser la parole. Changement de stratégie.  Il y a deux méthodes pour ne pas se cogner dans une table : l'éviter ou la sortir de la pièce. Dès mes seize ans, il m'a motivé à sortir de chez lui. Il aurait pu me payer pour faire accélérer le temps. C'est un peu ce qu'il a fait d'ailleurs, en m'offrant un chèque signé pour passer chez But afin de m'acheter le nécessaire vital. Quelques sous de perdus valent mieux qu'un retour pour une lessive, une récupération de blouson.

     

    Jean Charles espérait son père, mais son père ne venait pas à l'hôpital. Il n'est même pas venu le jour où il fut amputé de son premier pied.

     

    On va coupé au dessus du genoux lui avait expliqué le chirurgien. Comme pour un cochon. Je la connaissais par cœur, cette opération. Une scie et on coupe. D'un côté le haut de la cuisse pour le jambon, de l'autre, le pied de cochon.

     

    Monsieur Leleuc ne s'est pas déplacé, ce jour là. C'est terrible mais je n'ai éprouvé aucune révolte, limite je ne comprenais pas l'exigence de Jean Charles. Selon moi, aucun père ne se soucie de son fils. Comme elle est belle mon éducation !

     

    Quand Lou-Evan est entré au urgent pour une fièvre trop forte, j'ai cru que j'allais tourner dingue. J'étais hanté par sa mort proche. C'est totalement con, mais ce que j'ai eu peur. Vraiment la trouille la plus incroyable de ma vie. Charlotte a mille fois mieux assuré que moi, ce jour là.

     

    Aujourd'hui je ne comprends pas comment un père peu être absent le jour où on coupe la jambe de son fils. Aujourd'hui, mais pas à l'époque. A l'époque Jean Charles souffrait de l'absence, du silence, de l'indifférence de son père et moi ... moi j'étais fascinée par sa mère.

     

    Dans la chambre vide, madame Leleuc m'a pris la main, m'a serré dans ses bras. Acte que ma mère, ma grand-mère ne font jamais. Jean Charles a perdu une jambe et moi je me suis senti fils pour la première fois. 

     

    Elle est magnifique Marie Nelly. Pour un enfant, Marie Nelly c'est une poupée extraordinaire. Elle passait dans toutes les chambres, remontait le moral à tout le monde, sauf à son fils. Jean Charles attendait son père et voyait sa mère naviguer d'une chambre à l'autre. Elle diffusait du réconfort à tous quand Jean Charles avait besoin d'exclusivité. Je l'ai compris après, bien après. Étant du nombre des réconfortés, étant tellement heureux de l'intérêt qu'elle m'accordait, j'en oubliai Jean Charles, ses problèmes d'enfant.

     

    Et puis je mélangeais tout. Elle était une mère pour moi, elle agissait en mère avec moi, et ignorant tout de la douceur, de la tendresse d'une mère, je me l'imaginais maitresse, je m'en inventais amoureux. Tout s'éveillait en moi en même temps.

     

    Jean Charles n'est pas comme moi. Quand je veux quelqu'un, je baisse les yeux, j'espère, j'attends. Cela n'aide pas à avoir, j'en conviens. Lui, il affirme haut et fort "vas-t-en". Moi je me ferme, ne sachant plus exprimer ma volonté tant elles ont été refusées, critiquées. Lui il repousse pour ne pas vivre l'humiliation qui suit un désir non satisfait. D'une certaine façon, il a raison, à quoi bon soupirer des "s'il te plait" quand on sait que seuls des "vas te faire foutre" nous serons servis ? Autant proclamer sa non-envie dès le départ. Oui mais parfois, il faut savoir se dire : " Et si on avait tord, et si par miracle notre désir correspondait à son intention ? " Avec ma méthode molle et coincé, je peux obtenir. Avec celle de Jean Charles, même le plus motivé reste en arrière.

     

    Les "je me casse" de ce soir, je dois les traduire en "je te veux encore - ne pars pas vivre là où je ne serai pas". Je le sais, je le connais. Mais je dois oublier. Il me faut partir. C'est devenu obligatoire. Il le sait et c'est pour ça qu'il hurle si haut. Pourquoi alors que je sais les messages entre ses lignes, ai-je fait celui qui ne comprend pas ? Pourquoi en plus a-t-il fallu que je l'insulte ? C'est vraiment moi le con.

     

    Marie Nelly est une poupée, mais encore plus une sauterelle, elle ne sait ni se taire, ni se tenir en place, alors face à un muet et un rejetant, elle traversait le couloir de l'hôpital. Ce n'était pas facile pour elle non plus. Son fils François Xavier venait de mourir, son second allait être amputé, sa dite mauvaise éducation avait conduit Clément à la mort et son mari travaillait. On peut dire ce que l'on veut sur Marie Nelly : trop de bijoux, trop d'imagination, trop de vêtements pour adolescentes,  trop d’inconstance... Oui Marie Nelly est un mélange de trop et de pas assez en taille XXL, mais elle est une sacrée nana. Elle semble girouette. Elle le semble, mais elle ne l'est pas. Elle est une femme d'une forte mentale admirable.

    Marie Nelly m'a fait comprendre que la vie est belle.

    Elle ne le saura jamais mais je ne nage que pour m'offrir une chance d'un tête à tête avec elle. Je ne confonds plus rien, je sais ne pas en être amoureux, je sais que c'est le tout petit enfant en moi qui recherche des caresses, des compliments, des regards réconfortants, des sourires qui me font me sentir quelqu'un de bien.

     

    Je la veux dans la vie de mon fils. Je veux qu'elle lui apporte ce qui m'a tant manqué. Bien sûr Charlotte n'est pas maman, Lou-Evan saura ce que aimer veut dire, mais je veux qu'il sache Marie Nelly sur Terre, je veux qu'il sache sa folie, sa douceur, sa chaleur, son espièglerie.

     

    C'est terrible à dire mais les gestes des mères, je ne les ai découverts qu'avec Marie Nelly. Les compliments, les mains qui enlacent, qui se posent juste pour dire "je suis là pour toi", je les ai su d'elle.

     

    Quand on a appris que le second pied de Jean Charles ne sera pas sauvé, elle et moi, nous avons pleuré ensemble, mais pas pour la même chose. Dans ses bras j'ai versé toutes les larmes de n'avoir jamais été touché par ma mère. C'est probablement pour ça que je n'ai jamais su dire non à Charlotte. Trop de carence. Je sais notre liaison folie, mais il y a en moi un tel puits sans fond qu'il m'en impossible d'être fort. Trop de carence. On entend souvent les femmes dirent qu'elles ont X enfants + 1. Le +1 étant le père. Il semble que pour les femmes, les hommes restent enfants tout le temps que dure leur vie. Je ne ferai pas exception à la règle.

     

    Jean Charles est sorti de l'hôpital et je suis entré dans leur famille. Une vraie famille. Pas des gens additionnés, affairés à réunir un pactole collectif, une famille, un ensemble d'individus qui interagissent, qui se soucient les uns des autres. Jean Charles a un père. Pas celui qu'il voudrait certes, mais il a un père. Pas moi. C'est vrai Mr Leleuc n'est jamais passé voir son fils à l'hôpital mais à domicile, il le regarde dans les yeux, il lui adresse la parole, il le questionne, se souvient des réponses obtenues. Jean Charles a un père. Froid, peu là, mais il a un père, un vrai père.

     

    Chez eux j'ai toujours eu une assiette à table. Mon végétarisme n'a jamais posé problème à Marie Nelly. Elle a acheté des livres de cuisine pour moi, pour pouvoir me nourrir convenablement. C'est même elle qui m'a fait découvrir le seitan. Cette femme est une mère pour moi. Ma mère de coeur. Je la veux comme grand-mère pour mon fils.

     

    Et Jean Charles est mon frère.

    Sauf que pour tous il est devenu mon amant.

     

    Marie Nelly ne m'en a que plus chouchouté. Mr Leleuc m'a fait entrer à la fromagerie de sa laiterie.

     

    Mes parents ne se sont jamais manifestés. Papa n'a jamais mis les pieds dans mon premier appartement. Pas plus il n'est venu dans le second. Le téléphone, il ne l'utilise pas. Si je ne passe pas à la boucherie on ne se voit pas, et si je passe, on ne se voit pas forcément, monsieur n'a pas de temps et de salive à perdre pour un végétarien.

     

    Maman ne s'adresse qu'à Charlotte depuis au moins deux ans. Elle veut la récupérer. Nous sommes en concurrence. Du très grand n'importe quoi qui illustre merveilleusement bien la chosification  que pose maman sur ses enfants.

     

    Depuis qu'elle sait que je n'ignore plus rien sur l'origine de ma naissance, elle n'a pas cherché à me rencontrer une seule fois. Maxime non plus, mais Maxime m'a écrit une lettre, et Maxime est une étrangère. Maman est ma mère. Elle devrait avoir peur de me perdre. Elle devrait me coller, limite m’écœurer. Non elle n'a rien à me dire. Elle veut juste récupérer Charlotte.

     

    Je veux m'en aller d'ici.

    Je veux mettre de la distance avec cette image d'homosexuel que je porte depuis trop longtemps, avec les membres de ma non famille.

    Mais je veux garder les Leleuc.

     

    Si Jean Charles est si en colère, c'est qu'il refuse mon départ. Il ne sait pas le dire, il préfère tout casser à se faire jeter en novembre. Pourquoi ne sait-il pas comme je tiens à lui ?

     

    Oui j'ai besoin de cet ailleurs pour me remettre à voir clair dans ma vie.

     

    Jean Charles, suite à l'accident, s'est remis debout, s'est levé de son fauteuil, s'est remis à marcher avec ses prothèses, mais il ne veut pas avancer dans la vie. Il reste sur sa vision de non avenir. Je sais qu'il va me lâcher, qu'il est inutile de l'inviter à Noël, à son anniversaire ou au mien, voir à celui de Loulou. Jean Charles a fermé une porte entre nous. Il a ce côté extrémiste que je ne lui supporte pas et qui nous sera fatal.

     

    Avancer nous fait additionner des "Dommage".

    « 153 - Titouan & Jean Charles.155 - Jean Charles. »

  • Commentaires

    1
    Lundi 21 Août 2017 à 06:52

    Un long chapitre mais qui permet de mieux connaître certains personnage (ou du moins un point de vu sur eux)

    J'aime bien le "personne n'a voulu savoir qui j'étais", il y a la dedans quelque chose que l'on a tous ressenti.

    Et la dernière phrase est pas mal non plus ...

      • Lundi 21 Août 2017 à 13:00

        Il ne s'est presque jamais exprimé Titouan sur le long du livre alors qu'il est le personnage central. Il fallait donc "l'entendre" avant le mot FIN.

      • Lundi 21 Août 2017 à 13:34

        exact !

    2
    Lundi 21 Août 2017 à 19:24

    Ce sera bien pour Cordial, en plus la véto pourra examiner ses blessures et chercher pourquoi il tousse.

    3
    Lundi 21 Août 2017 à 21:07

    J'ai déjà entendu une toux de chat, mais là il est bien pris.

    Il a aussi son gros ventre avec un touché bizarre.

    Et leucose ??? Test à faire.

    Je vous dis demain soir comment Mr va.

     

      • Mardi 22 Août 2017 à 00:30
        Dani et ses Chats

        J'y ai pensé à Cordial.
        Bon demain la véto va décider ce qu'elle fera ou pas.
        Bon courage petit Cordial. @ demain

      • Mardi 22 Août 2017 à 07:16

        Au moins il sera contrôlé, bon courage, en attendant les nouvelles

    4
    Mardi 22 Août 2017 à 11:33

    Il est sur la table de billard en ce moment le petit dernier.

    Pour ça c'est mieux d'être garçon que fille.

    La véto va profiter qu'il dort pour le pucé, faire le test de la leucose et aussi pour faire une radio de son ventre. On sent des boules quand on touche. La véto dit que vu sa maigreur du début ce pouvait être les reins que l'on sentait. Donc par sécurité : radio de tout l'abdomen. 

    Et elle va voir aussi son dos. Pourquoi un nouveau trou. On est le 22, il est arrivé le 27, c'est étrange vu qu'il ne s'est pas blessé. Il est si calme qu'il ne se bat pas, ne joue pas. Il y a juste Kizende qui râle dessus. ... Bon ok miss joie de vivre aussi.

    Miss qui n'est pas contente. Après avoir déposé Cordial chez son véto je suis allée chez le véto biquettes pour avoir une piqûre pour Kiana (pas réjouissant ce matin, elle tremble de partout, le réveil fut difficile) et là il y avait 7 bébés boxer, alors je suis revenue parfumée au boxer (ben oui je les ai prise dans les bras) et je ne lui en ai pas ramené un seul. Alors Miss Még trouve pas ça juste. Un chiot c'est bien mieux qu'un crouton de baquette fraiche.

      • Mardi 22 Août 2017 à 11:45

        Ah le parfum "boxer" ... quelle classe.

        Très bien de profiter de l'anesthésie pour les divers contrôles, tu en sauras vite davantage.

      • Mardi 22 Août 2017 à 18:14
        Dani et ses Chats

        Bon je suppose que si elle l'a opéré,

        c'est qu'aux divers contrôles ça allait, radios y compris.

        J'ai vu pour la leucose. Super !

        Là tu dois être bien occupée entre tout ... :-)

    5
    Mardi 22 Août 2017 à 12:08

    yess, je viens de lire : super !

      • Mardi 22 Août 2017 à 13:01

        (bon sauf pour Kiana)

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :